Savoir rouler à vélo dans les écoles.
Apprendre aux enfants des écoles primaires à être autonomes dans leurs déplacements à vélo en milieu ouvert à la circulation.
Partenariat avec l’Education Nationale, la collectivité et une association locale pour intervenir dans les écoles et permettre à une génération d’enfants d’acquérir les compétences pour se déplacer seul à vélo avant l’entrée au collège.
Comment le projet fonctionne ?
Favoriser l’usage du vélo en permettant aux enfants d’être autonomes.
D’assurer les bonnes bases (de maîtrise et d’automatisme) pour l’utilisation du vélo comme moyen de déplacement quotidien et de favoriser dès l’enfance l’acquisition d’une culture vélo.
La maîtrise du vélo en circulation ouverte, avec une formation dispensant les bons gestes et les règles de circulation et de partage de la rue.
La structuration d’un réflexe de mobilité alternative pris dès l’enfance, qui deviendra plus tard une habitude.
La conviction que l’intervention dans les écoles permet de capitaliser pour les usagers de demain et pour le développement local de la culture vélo.
Quels sont les usagers concernés par le projet ?
Public cible : les enfants de second cycle de primaire (CM1 et CM2), pour préparer leur entrée au collège où ils gagnent souvent en autonomie (trajets non accompagnés).
Catégorie d’usages : pour un usage quotidien.
Quels sont les clefs de réussites et les leviers facilitateurs du projet ?
La parfaite adhésion de la part de l’Education Nationale, afin de communiquer avec les établissements de la commune et toucher ainsi le maximum d’enfants d’une part, et d’assurer l’intégration de l’action au cadre et programme pédagogique des enseignants d’autre part.
- Des écoles volontaires et actives en matière de mobilités alternatives ou de sensibilisation à la sécurité routière ;
- Une association locale ayant compétence et qualification pour l’apprentissage du vélo et disposant des moyens humains et matériels de dispenser les cours (vélos, panneaux, véhicule de transport, atelier).
Les contraintes météorologiques, notamment au vu du calendrier scolaire, avec une difficulté de tenir les sessions de novembre à mars.
La difficulté de toucher toute une génération car dépendant de l’adhésion de l’inspection, de chaque groupe scolaire ou de certains enseignants.
L’habilitation par l’Education Nationale du personnel de l’association pour intervenir dans le cadre scolaire.
La capacité logistique de l’association pour accomplir l’action.
Un travail de sensibilisation pour présenter l’action et de concertation pour convaincre les acteurs.
Un travail en équipe sur un intérêt commun.
Une nécessité d’inscrire un budget en adéquation avec l’ambition affichée.
