Habitants, collectifs, associations : quelle place dans les projets de mobilité ?
Le 25 juin dernier, le Cerema organisait, à destination des lauréats d’Avenir Montagne Mobilités, un webinaire dédié à la concertation et la participation citoyenne. Croisant les regards d’experts et les retours d’expériences, cet évènement a permis de poser des jalons essentiels aux projets de mobilité.
3 questions ont animé ce webinaire :
Pourquoi mettre en place un dispositif de participation citoyenne ? Cette question est importante car selon les objectifs, les outils mobilisés seront différents : améliorer les connaissances, sensibiliser, recueillir de nouvelles idées, tester des solutions, autant de raisons qui vont générer des dynamiques distinctes.
A quelle phase d'un projet de mobilité mettre en place ce dispositif ? De la construction d'une stratégie locale à la mise en place d'un service de TAD, chaque temps d'un projet peut être propice à une participation citoyenne, en mobilisant des outils différents (questionnaire, cartographie participative, pensée design..)
Quelle place pour les acteurs locaux ? Citoyens, usagers, collectifs organisés, associations... Chacun a sa place selon les phases et les outils mobilisés. Mais plus encore, ces dispositifs doivent aussi comprendre des temps de coordination entre les différents acteurs publics mobilisés.